Ces CDI se complèteront de 6 000 contrats jeunes, alternants et stagiaires dont les embauches définitives à durée indéterminée feront partie des 3 000 emplois promis entre 2017 et 2019. L’enjeu est donc de taille, mais ces embauches sont conditionnées à la signature d’un accord de compétitivité avec les représentants syndicaux.
Durant le précédent accord, qui couvrait la période de 2014 à 2016, le groupe avait recruté 3 000 personnes là aussi en CDI. Mais dans le même temps, Renault avait procédé à une réduction des effectifs de 7 200 personnes — c’est moins tout de même que les 7 500 départs initialement prévus. Le constructeur automobile avait alors procédé à plus de recrutements qu’escompté.
Les syndicats ont maintenant cette nouvelle donne entre les mains. Le précédent accord portait davantage sur la réorganisation des effectifs. Pour la nouvelle période de trois ans qui s’ouvrira début 2017, la direction de Renault n’a pas donné le décompte des départs qui seront décidés en parallèle des embauches prévues.
Durant le précédent accord, qui couvrait la période de 2014 à 2016, le groupe avait recruté 3 000 personnes là aussi en CDI. Mais dans le même temps, Renault avait procédé à une réduction des effectifs de 7 200 personnes — c’est moins tout de même que les 7 500 départs initialement prévus. Le constructeur automobile avait alors procédé à plus de recrutements qu’escompté.
Les syndicats ont maintenant cette nouvelle donne entre les mains. Le précédent accord portait davantage sur la réorganisation des effectifs. Pour la nouvelle période de trois ans qui s’ouvrira début 2017, la direction de Renault n’a pas donné le décompte des départs qui seront décidés en parallèle des embauches prévues.